octobre 2009

Jean Sarkozy booste son image !

Grace à son intervention TV sur France2, Jean Sarkozy a considérablement améliorer son image. Près d’un quart des Français estiment que la prestation télévisée du fils du chef de l’Etat a amélioré son image. 43% d’entre eux estiment que renoncer à l’Epad était une preuve de sagesse et de maturité.

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Nicolas Sarkozy défend son fils Jean

Dans une interview au Figaro, Nicolas Sarkozy défend son fils sur la gronde qui a monté contre lui et sa candidature à la présidence de l’EPAD.

A travers cette polémique, qui est visé ? Ce n’est pas mon fils. C’est moi.

Je souhaite le rajeunissement de nos élites politiques qui ont bien vieilli. J’ai été le premier surpris lorsque Jean a voulu se lancer en politique.

J’ajoute qu’il faut avoir 21 ans pour être candidat à l’élection cantonale. Il a réussi.

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Désacord sur la Turquie

Nicolas Sarkozy et son homologue turc Abdullah Gül ont constaté vendredi à Paris leur désaccord sur l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne (UE), que le président français refuse obstinément, mais se sont promis malgré tout d’étendre la coopération entre leurs deux pays.

Conclusion d’une visite de trois jours en bord de Seine, la première rencontre entre les deux dirigeants depuis l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007 a débuté au Grand Palais par l’inauguration de l’exposition « De Byzance à Istanbul », manifestation phare de la saison de la Turquie en France, et s’est poursuivie par un déjeuner de travail à l’Elysée.

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Jean Sarkozy prend le controle de La Défense

Le fils du président veut-il griller les étapes ? En tout cas il souhaite clairement diriger l’EPAD, l’établissement public qui gère le quartier d’affaires de La Défense proche de Paris.

L’opposition est toujours aussi critique samedi face à l’arrivée annoncée de Jean Sarkozy, 23 ans, à la tête de l’Epad, le grand quartier d’affaires parisien.

« Il ose tout. Après, tout le monde plie parce qu’il a le nom qu’il a », a estimé sur France Info la secrétaire nationale des Verts, Cécile Duflot. « Dès qu’on sort des limites de l’Hexagone, les gens trouvent ça juste invraisemblable, inouï. Inouï que le fils du président de la République puisse à 23 ans devenir président d’un établissement public avec un (tel) budget ».

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